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Education : à la découverte des livres du Dr Gilles-Marie Vallée

Education : à la découverte des livres du Dr Gilles-Marie Vallée

Être parent, c’est sans doute, pour moi comme pour beaucoup d’entre vous j’imagine, l’une des plus grandes aventures humaines : à la fois lumineuse et déconcertante, mêlée de moments de grâce et parfois de sentiment d’impuissance.

On s’y découvre parfois très fort mais parfois aussi très vulnérable, souvent en équilibre entre l’amour immense que l’on porte à son enfant et le sentiment vertigineux de ne pas savoir “comment bien faire”.
Je l’exprime avec toute la sincérité d’un papa, à mon sens, il n’existe pas de recette parfaite. 

Mais au-delà de la beauté et de la difficulté de cette traversée, j’ose dire qu’elle m’a transformé jusque dans les fibres les plus secrètes de mon être.

La naissance de ma fille n’a pas seulement fait surgir une vie nouvelle : elle a fait naître un autre moi. Une part de moi que je ne soupçonnais pas, bien plus tendre, plus vulnérable, mais aussi plus forte. Elle m’a appris ce qu’aucune école, aucun livre, aucune méditation ne m’avaient véritablement enseigné : le don de soi sans calcul, l’amour sans condition, la patience comme une prière silencieuse.

Avant elle, j’étais sans doute davantage tourné vers mes projets, mes idéaux, mes quêtes intérieures. Depuis elle, chaque instant est devenu plus dense, plus habité. Son souffle a réécrit ma manière d’exister au monde et j’ai découvert que veiller sur un enfant, c’est aussi apprendre à veiller sur soi, sur l’autre, sur la vie elle-même.

La parentalité n’est pas seulement un rôle, c’est une métamorphose. C’est un dépouillement et une révélation, qui, bien qu’elle soit très belle, peut parfois faire très mal et bousculer toutes vos certitudes.
Ma fille m’a enseigné la fragilité et la puissance du lien, la beauté de l’imperfection, la noblesse du geste simple : apaiser une peur, accueillir une larme, écouter sans juger.

Elle m’a offert bien plus qu’une descendance : une seconde naissance, une renaissance.
En la guidant, en réalité c’est elle qui me montre la voie.
Et dans chacun de ses regards, je retrouve ce que la vie a de plus vrai : l’émerveillement d’être au monde, simplement.

Et parce que cet amour, aussi instinctif soit-il, ne suffit pas toujours à éclairer les zones d’ombre de la relation parent-enfant, j’ai compris qu’il est précieux de s’appuyer sur des repères, des savoirs et des expériences partagées. Des balises d’expérience qui nous aident à mieux naviguer dans la complexité de ce lien si puissant et fondateur.

Parmi ces repères, les ouvrages du Dr Gilles-Marie Vallée, pédopsychiatre reconnu et ardent défenseur d’une éducation à la fois responsable et bienveillante, occupent selon moi, une place de choix. L’auteur dirige également, en tant que praticien hospitalier, un centre médico-psychologique pour enfants et adolescents sur la ville de Paris.
Aujourd’hui, je souhaite vous partager deux de ces livres qui m’ont particulièrement aidé, que je trouve limpide, facile à lire et vraiment adapté au plus grand nombre.

Les 101 règles d’or de l’éducation bienveillante (Larousse Poche) et Dites pas si, dites cela (Hugo New Life), représentent de véritables guides de terrain : clairs, vivants, et profondément humains.
Ils s’adressent autant à la raison du parent qu’à son cœur.

L’autorité bienveillante : un équilibre à (re)trouver

Le Dr Vallée n’est pas de ce qui prône la permissivité excessive. Il rappelle avec justesse que l’enfant a besoin d’un cadre pour se construire, mais d’une autorité qui guide sans écraser, oriente sans humilier et qui respecte toujours les besoins fondamentaux de l’enfant, son intérêt et son bonheur.
Dans Les 101 règles d’or de l’éducation bienveillante, il expose, à la lumière de son expérience clinique, des principes simples et applicables pour poser des limites sans crier, se faire écouter sans menacer, éduquer en évitant, autant que possible, de céder à la fatigue, aux maladresses et la culpabilité.
Tout repose sur la cohérence, la clarté, et le respect mutuel.

Ce qui frappe dans cet ouvrage, c’est la lucidité du propos : aimer son enfant, c’est aussi lui apprendre la frustration, la responsabilité et la patience. L’autorité, loin d’être un acte de domination, devient un acte d’amour lucide.
“Élever” prend ici tout son sens : il ne s’agit pas de soumettre, mais simplement d’aider à grandir.

Ces ouvrages démontre ce qui fait sens pour moi, que la qualité du lien entre adultes et enfants dépend avant tout de la manière de communiquer.
L’objectif n’est pas d’obtenir l’obéissance, mais la coopération, le respect mutuel et la construction de l’autonomie émotionnelle et morale de l’enfant.

Hypnose & Attachement : la sécurité relationnelle au cœur du changement

Livres du Dr Gilles-Marie Valet

Les mots qui élèvent, les mots qui blessent : l’art de dire autrement

L’ouvrage Dites pas si, dites cela, est une merveille de pédagogie.
On y découvre, combien nos expressions quotidiennes, celles que nous croyons parfois anodines, peuvent modeler le rapport de l’enfant à lui-même.

Ce livre est alors à parcourir comme une invitation à la conscience : celle de la portée symbolique et affective du langage.
Le Dr Vallée démontre que les mots que nous utilisons deviennent, pour l’enfant, les briques de sa pensée, la musique de sa mémoire et la matière première de sa confiance.
Ainsi, reformuler, ajuster, choisir ses mots est loin d’être un un détail : c’est un acte éducatif, une manière de construire la réalité de l’enfant à part entière.
Et dans un monde saturé de paroles rapides, retrouver cette attention au langage, c’est déjà aimer autrement, plus sainement.

Avant de pouvoir raisonner un enfant, il est essentiel de commencer par l’écouter vraiment. Tant qu’il ne se sent pas compris, aucune explication, même juste, ne pourra vraiment l’atteindre. Lorsque l’on cherche à apaiser trop vite ou à nier ce qu’il éprouvent nous interromprons le lien qui permet justement la compréhension mutuelle. Accueillir les émotions d’un enfant ne consiste donc pas à tout accepter ni à renoncer à poser des limites, mais à reconnaître et nommer ce qu’il ressent avant d’introduire le cadre nécessaire. C’est à travers cette reconnaissance que l’enfant apprend peu à peu à accueillir lui-même ce qu’il vit et à se réguler intérieurement.

Punir un enfant peut le faire obéir sur le moment, mais cela ne l’aide pas à grandir. La punition humilie, elle suscite la peur plutôt que le sens des responsabilités. Elle coupe le lien, là où l’éducation devrait l’approfondir.

À la place, il est parfois possible d’adopter une posture plus constructive :


Exprimer clairement ses émotions sans blesser : « Je suis en colère que tu aies menti. »
Montrer comment réparer, en l’aidant à trouver des gestes justes : « Que peux-tu faire pour arranger cela ? »
Chercher ensemble des solutions pour l’avenir : « Qu’est-ce qu’on pourrait faire pour que cela se passe mieux la prochaine fois ? »
Proposer des conséquences logiques plutôt que des sanctions arbitraires, afin que l’enfant relie ses actes à leurs effets réels.

Ainsi, l’enfant n’apprend plus à craindre l’adulte, mais à comprendre, assumer et réparer. Il développe un sens intérieur de la responsabilité plutôt qu’un simple réflexe d’obéissance.

Article Intéressant à ce sujet : Initiation à la Communication Non Violente

Quand la parole répare

“Ce que la parole abîme, la parole peut le réparer.”


Cette phrase résume l’esprit de ces deux ouvrages. Loin de culpabiliser les parents, le Dr Vallée leur tend la main. Il nous rappelle qu’il n’est jamais trop tard pour mieux dire, mieux écouter et donc pouvoir aimer de manière plus adéquate.
Nous faisons tous des erreurs, comme je j’aime le répéter souvent, il n’y a pas d’éducation sans maladresse, pas de transmission sans heurts, le parent “parfait” ou sans faille n’existe pas.

Cependant, il est nécessaire de savoir reconnaître ses erreurs et de les expliquer, afin que l’être qui dépend de vous, qui se construit avec et grâce à vous, ne se sente ni rejeté, ni coupable, ni simplement plongé dans une confusion totale.

C’est en effet un point fondamental de toute relation éducative : savoir reconnaître ses erreurs.
Trop souvent, les parents ou éducateurs craignent qu’admettre une faute ne fragilise leur autorité. Or, c’est tout l’inverse : reconnaître ses torts, c’est donner à l’enfant une leçon de vérité, d’humilité et de cohérence.

Lorsqu’un adulte accepte de dire « je me suis trompé », il montre à l’enfant que l’erreur n’est pas une honte, mais une étape naturelle du chemin de la croissance. Il humanise la figure parentale, la rend crédible, incarnée, imparfaite  donc aimable. L’enfant apprend ainsi que la valeur d’un être ne se mesure pas à son infaillibilité, mais à sa capacité à se remettre en question.

Ne pas reconnaître ses erreurs, à contrario, installe une dissonance entre le discours et le vécu, l’enfant sent l’injustice ou l’incohérence, mais il ne peut la nommer sans se sentir coupable ou irrespectueux. Ce décalage nourrit en lui la confusion : il ne sait plus ce qui est juste, ni même s’il peut se fier à son ressenti.
Peu à peu, cette confusion devient une forme d’insécurité affective et cognitive : il n’ose plus affirmer sa propre perception, craignant que sa vérité ne soit pas entendue.

À l’inverse, un parent qui reconnaît son erreur restaure immédiatement la confiance. Il montre que la parole donnée peut se reprendre, se corriger, s’améliorer. Il enseigne que la vérité d’un lien ne tient pas dans la perfection, mais davantage dans la sincérité.

Peut-être que la qualité d’une relation se mesure à la liberté qu’elle laisse à l’autre d’être soi-même.

La beauté de la relation, et plus intensément encore selon moi, la relation parent-enfant réside précisément dans la possibilité d’ajuster, de se parler, de se comprendre à nouveau, du moins de tenter par un acte d’amour, de tout faire pour réconcilier le dialogue.

Il est essentiel de se rappeler que le “bon parent” n’est pas celui qui a toujours raison, mais celui qui fait de son mieux, qui cherche à offrir un cadre sécurisant, attentif aux besoins et aux rythmes de son enfant, sans vouloir le façonner à son image. Être parent, c’est avant tout transmettre, par l’exemple autant que par la parole, les valeurs qui éclairent la route, sans jamais imposer la direction.

“Même si nos propres expériences pourraient nous avoir convaincus de tel ou tel principe que nous prenons alors pour des vérités, laissons-lui la liberté de ses propres aventures.”p.63

À travers ses pages, le Dr Vallée nous réapprend que communiquer, ce n’est pas seulement parler : c’est penser et agir.
C’est aussi savoir se taire, parfois. Car il existe des silences qui valent mieux que mille mots mal choisis.
Ce silence-là n’est pas un vide, mais un espace d’écoute, une respiration qui permet à l’enfant de se dire autrement.

L’éducation : un lien qui se construit, jour après jour

Les relations affectives entre parents et enfants ne se construisent pas uniquement à travers les jeux, les câlins ou les histoires du soir…
Elles se tissent, plus profondément encore, dans la manière d’éduquer.
C’est parce qu’un enfant se sent aimé et respecté qu’il écoutera et s’exprimera plus volontiers. Et c’est parce qu’un parent sait dire non avec bienveillance qu’il sera entendu avec respect.

L’attachement et l’autorité ne s’opposent pas, ils se soutiennent, s’alimentent l’un et l’autre.
Une éducation plus juste, cohérente et patiente, est un acte d’amour. Elle apprend à l’enfant à reconnaître ses émotions, à maîtriser ses impulsions, à comprendre le sens du monde dans lequel il grandit.
Et cela commence par nous-même parent, la manière d’accueillir et de vivre nos propres émotions, mais aussi les mots et gestes que nous employons.
Par le ton de la voix, le regard, la manière de se conduire en société, notre disponibilité…
Par la cohérence entre ce que l’on dit, ce que l’on fait, et ce que l’on est.

Une notion, à mon sens trop peu abordée, traverse pourtant ces deux ouvrages : celle du juste usage du compliment. Les compliments, bien sûr, sont précieux. Mais, comme tout ce qui a de la valeur, ils se dégradent lorsqu’ils deviennent automatiques. À force d’être répétés sans réelle attention, ou d’être portés par des superlatifs convenus (“c’est génial”, “tu es le meilleur”), ils finissent par perdre leur sincérité et sonnent creux aux oreilles de l’enfant. Leur portée s’affaiblit encore davantage lorsqu’ils se voient aussitôt annulés par une remarque agacée ou un reproche lancé sous le coup de la lassitude ou de la contrariété.

Il importe donc de féliciter l’enfant davantage pour ce qu’il fait, pour ses efforts, sa ténacité, ses progrès, plutôt que pour ce qu’il “est” (un “gentil garçon”, une “bonne élève”, un “enfant sage”…). En valorisant les actes plutôt que les qualités supposées, on permet à l’enfant de se construire dans le mouvement, d’apprendre à se mesurer à lui-même, et non à une image idéalisée ou figée.

Autrement dit, mieux vaut encourager et valoriser une action que sacraliser une personnalité. Car c’est ainsi que se forme une estime de soi solide, enracinée dans la conscience de ses capacités plutôt que dans la crainte de décevoir.

Complimenter avec justesse, c’est finalement reconnaître ce qui est concret, sincère, adéquat. C’est cette vérité-là qui rend les mots éducatifs, parce qu’ils résonnent profondément dans le cœur de l’enfant et l’aident à grandir en confiance, sans pression excessive ou enfermement dans un rôle ou des attentes irréalistes.

L’empathie parentale nous rend sensibles aux émotions de l’enfant, mais elle peut aussi nous mettre en difficulté face à sa colère, sa tristesse ou sa frustration. Par réflexe, nous cherchons souvent à faire taire ces émotions : « Arrête de pleurer », « Sois fort » , croyant consoler, alors que nous invalidons ce qu’il ressent. Accueillir une émotion ne revient pas à tout permettre, mais à reconnaître ce que l’enfant vit et à l’aider à le nommer : « Es-tu triste ou en colère ? Qu’est-ce qui t’a blessé ? » Cette écoute lui apprend peu à peu à comprendre et réguler ses émotions, plutôt que de les exprimer par des cris ou des larmes. Il importe aussi d’éviter évidement les jugements qui enferment « Tu es nul », « menteur », « méchant » pour pointer du doigt l’acte, et non la personne en lui collant une étiquette. Ainsi, l’enfant découvre qu’il peut se tromper, réparer, évoluer sans perdre pour autant sa valeur.

Pour conclure : l’Amour comme héritage

Ces deux livres sont, à mes yeux, des compagnons de route plus que des manuels. Ils ne jugent pas : ils accompagnent.
Ils ne dictent pas mais éclairent, aident à prendre du recul.
Ils rappellent, avec douceur et exigence, que le langage est un acte de construction de soi, de l’autre et du lien.

L’éducation a pour mission de transmettre à l’enfant, entre autres choses, les règles et les lois qui lui permettront de bien s’intégrer socialement et qui s’imposent à lui de toute façon par la suite. Il s’agit de le rendre apte à les respecter, car tolérer les frustrations n’est pas inné pour lui, et respecter des consignes au mieux, cela s’apprend.

Je les recommande à tous les parents, jeunes ou expérimentés, parfois épuisés, souvent plein d’amour mais à court de mots, comme cela peut arriver à chacun.
À ceux qui cherchent comment poser des limites sans perdre la tendresse, en respectant les intérêts de leurs enfants avant tout.
À ceux qui veulent que leurs enfants les écoutent non par peur, mais par confiance.

Parce qu’au fond, éduquer, c’est cela : parler à l’enfant de demain avec les mots justes d’aujourd’hui.

Ce que j’apprécie particulièrement dans ces ouvrages est la volonté de ne pas moraliser, mais de comprendre les enjeux émotionnels, de reconnaître la diversité des situations parentales, et d’offrir des pistes pour accompagner l’enfant vers son épanouissement tout en respectant le parent lui-même.

Ces deux livres sont à la fois pratiques et efficaces : ils offrent des outils concrets pour améliorer notre communication interpersonnelle et prévenir les malentendus, les quiproquos et les conflits. Au-delà de simples techniques de dialogue, ils proposent de véritables clés de compréhension relationnelle, profondément éclairantes, qui permettent d’instaurer une éducation bienveillante au sens premier du terme, c’est-à-dire une éducation qui apprend à bien veiller” : autrement dit, à être attentif, présent et respectueux des besoins de l’enfant comme de l’adulte pour vivre en privilégient l’Amour de ce lien formidable.

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Ces lectures constituent donc de précieuses ressources pour mieux comprendre les dynamiques émotionnelles et relationnelles au sein de la famille.
Cependant, il est essentiel de rappeler qu’elles ne se substituent en rien à l’accompagnement d’un professionnel de la petite enfance ou de la santé mentale. Chaque enfant, chaque histoire et chaque environnement éducatif sont uniques.

Certaines situations particulières, je pense à certaines particularités telles que les troubles oppositionnels avec provocation (TOP), le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), les troubles du spectre de l’autisme (TSA), les troubles anxieux, les retards de développement ou encore certaines difficultés sensorielles…etc nécessitent évidemment une évaluation approfondie et un accompagnement adapté.

Si vous avez le moindre doute ou ressentez le besoin d’un avis éclairé, n’hésitez pas à consulter un professionnel compétent proche de chez vous (psychologue, pédopsychiatre, orthophoniste, psychomotricien, éducateur spécialisé…).

Sylvain Gammacurta

Autres livres intéressants à ce sujet : 

Caroline Goldman, Guide des parents d’aujourd’hui, flammarion

https://www.fnac.com/ia960852/Gilles-Marie-Valet

Pour aller plus loin, voici une liste de livres proposé par Catherine Rivemale, Infirmière puéricultrice de formation, forte d’une expérience en périnatalité, direction de crèche et spécialisée dans la gestion du couple et de la sexualité en post-partum. Son site internet : https://www.rivemale.fr/

« Au cœur des émotions de l’enfant » d’Isabelle Filliozat → Encore un classique, assez indispensable pour accompagner les parents à comprendre et accueillir les émotions de leurs enfants (et les leurs).

« Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent » de Faber & Mazlish → Outil hyper concret pour améliorer la communication familiale. Je m’en inspire parfois dans mes ateliers ou consultations.

« Les 5 besoins fondamentaux de l’enfant » de Clémence Prompsy → Excellent pour mettre des mots simples sur les bases de la sécurité affective.