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Retour sur le cabinet public de Kevin Finel, Aix En Provence 16.11.21

Après une longue interruption due à la crise sanitaire, les cabinets publics de Kevin Finel, directeur et fondateur de L’ARCHE (Académie de Recherche et Connaissances en Hypnose Ericksonienne) reprennent enfin.

Avec passion, humour et générosité, dans un espace hors du temps, l’homme nous invite à la découverte de l’hypnose.

Pour celles et ceux n’ayant pas eu la chance de pouvoir y participer, cet article aura pour vocation d’exposer succinctement le déroulement de cet intervention et pourquoi pas donner envie de découvrir l’expérience lors d’une prochaine date.

Un cabinet public qu’est ce que c’est ?

Un cabinet public, tel que celui auquel j’ai eu la chance de participer ce mardi 16 novembre 2021 sur Aix-en-Provence est une soirée destinée à démocratiser l’hypnose et plus particulièrement les méthodes d’accompagnement possible grâce à cette pratique.

Le cabinet public se compose généralement en trois parties :

La première, une conférence afin d’expliquer de façon claire et non dogmatique, en s’appuyant sur les dernières recherches et connaissances en neurosciences et psychologie.

La deuxième, après une expérience d’hypnose collective, quelques volontaires sont sélectionnés parmi l’assemblée afin d’exposer et travailler sobrement leurs problématiques individuelles.

C’est à ce moment précis que le terme “cabinet public” prend tout son sens, nous assistons à une démonstration technique de ce que reflète un accompagnement concret sous hypnose, le tout ponctué par quelques explications de l’orateur.

Enfin troisièmement, un temps est accordé à une séance de questions/réponses où Kevin Finel ne manque pas de préciser, argumenter et éclaircir avec érudition les diverses interrogations du groupe.

Résumé du cabinet public du 16.11.21

Démocratiser l’hypnose, et plus particulièrement l’exploration des états de conscience, voilà le maître mot et le point d’amorce de cette conférence.

Tous autant que nous sommes, nous avons déjà vécu ce conflit intérieur entre une partie de nous qui veut tendre vers un nouveau comportement et une autre qui finalement refuse catégoriquement la porte au changement.Résolutions de début d’année oubliées l’instant d’après, changement d’hygiène de vie, passage à l’action… Qui n’a jamais vécu cette apparente impossibilité de tenir ses engagements dans le temps ? 

L’hypnose, cet outil permettant de créer des expériences psychiques à part, certainement l’une des plus agréables à vivre au fond, peut, quand elle est travaillée de façon écologique, nous aider à remettre du mouvement dans nos perceptions et nos croyances.Celles-ci peuvent être comme rééduquées de façon ludique par cet enrichissement de ce qui est comme caché, au premier abord, par ce que l’on appelle communément notre conscience.

Et pour se faire, les états modifiés de conscience créés par l’hypnose, mais que nous vivons tous, souvent à notre insu dans les moments les plus instinctifs de notre vie, s’avèrent d’excellents moyens de modifier nos perceptions.

 Le cerveau : un organe prédictif

L’approche du « cerveau prédictif » constitue un changement de paradigme majeur par rapport à la vieille analogie cerveau réactif, qui attend passivement de recevoir des informations sensorielles.

Au contraire, aujourd’hui nous savons que celui-ci cherche constamment à faire des inférences à partir des perturbations physiques que subissent ses sens et pour tenter d’en comprendre les causes par rapport à des expériences antécédentes.

En d’autre termes nous voyons, sentons, ressentons davantage ce que nous nous attendons à voir, sentir et ressentir.

L’avantage est majoritairement évolutif. Néanmoins, il s’avère que ce système de fonctionnement soit à l’origine d’interprétations empêchant d’entrer dans un élan de créativité, d’ouverture et de libération intérieure.

Expérience hypnotique de groupe

Pour modifier nos ressentis et nous inviter alors à de nouvelles perceptions, Kevin Finel invite alors toutes celles et ceux qui sont partants pour vivre une petite expérience à se lever et explorer comment par de simples suggestions les sensations peuvent être rapidement modifiées.

Pour les participants engagés, le corps peut se mettre instinctivement à vaciller, puis basculer d’avant en arrière, puis grâce à un fluide enchevêtrement d’évocation, une main, puis un bras peut commencer à se sentir léger et s’élever de manière” automatique”. A ce moment, un bon nombre de personnes découvre ou redécouvre l’idée d’une légère transe hypnotique bien préparée en amont par des présupposés et un pré-talk plutôt bien rodé.

Pour les néophytes, le pré-talk est en fait “le discours pré-hypnotique” permettant de créer le contexte et les attentes idéales pour les sujets souhaitant faire l’expérience de l’Hypnose et à être davantage réceptif aux suggestions ou mieux de diminuer l’auto-censure.

J’aime employé également le terme “priming”, qui en psychologie cognitive peut être traduit par “l’amorçage”,  désignant une famille de paradigmes expérimentaux basés sur la présentation préalable d’un stimulus (l’amorce) pour influencer le traitement d’un autre stimulus (la cible).

Approfondissement et preuve sociale 

Une fois cette première démonstration terminée, l’orateur renforce l’engagement généré par celle-ci avec une série de questions, puis approfondi sur le sujet de l’incohérence de nos pensées, s’avérant souvent moins consciente que ce que l’on aime à croire.  

Pour argumenter, Kevin Finel s’appuie intelligemment sur quelques notions et preuves neuroscientifiques et insiste plus particulièrement sur une expérience de psychologie sociale.

Il y a quelques années, l’expérience de Peter Johansson et Lars Hall a mis en évidence la façon dont les gens sont aveugles à leurs propres choix et préférences. La cécité des choix est un type de phénomène appelé “illusion d’introspection”. La plupart des gens croient à tort qu’ils ont une compréhension totale des origines de leur état mental et préfèrent entendre les idées des autres comme moins fiables.

La réalité est moins évidente.

Les expérimentateurs ont alors présenté aux sujets deux cartes avec des visages de femmes puis ont demandé laquelle ils trouvaient la plus attrayante.À l’insu des sujets, un tour de magie a été utilisé avec les cartes pour échanger un visage contre un autre après qu’une décision ait été prise. Les sujets se sont alors retrouvés avec le visage qu’ils n’avaient pas réellement choisi.La plupart des participants ne se rendaient pas compte qu’en réalité l’image qu’ils voyaient n’avait pas été leur premier choix et plus incroyable encore de nombreux sujets ont expliqué et justifié leur “choix”.

Les résultats ont montré que dans 75 % des tests, les participants étaient aveugles et ont pu expliquer en détail pourquoi ils avaient choisi ce visage, alors qu’au départ, ils l’avaient pourtant rejeté

Les expérimentateurs ont inventé le terme « cécité de choix » en raison de cet échec à détecter une inadéquation.

Cette brillante démonstration remet donc en question les croyances de chacun en ce qui concerne la prise de décision ainsi que nos idées largement influençables. 

 

Démonstration de séances d’hypnose d’accompagnement

1/ Addiction alimentaire 

La suite s’avère extrêmement intéressante.

Kevin Finel sélectionne au hasard une volontaire afin de l’inviter à travailler sur un comportement lui posant problème.

Une fois l’hypnotiseur rejoint sur le devant de la scène, la personne explique ses divers conflits intérieurs et paradoxes en insistant sur ce qu’elle nomme une addiction au sucre, plus particulièrement au chocolat.

Il lui demande alors avec humour si elle souhaite intensifier cette addiction… Évidemment la salle et le sujet elle-même se mettent à rire. Non évidemment elle veut se débarrasser de ce comportement jugé inadéquat qu’elle arrive très bien toute seule à intensifier. Derrière ce trait d’humour se cache cependant deux présupposés :

Le premier de dédramatiser la problématique, devenant un sujet plus léger.

Le second et peut-être le plus important, de présupposer implicitement que si cette mauvaise habitude peut s’amplifier, elle peut également être minimisée…

Après quelques questions afin de cibler au mieux et dans un minimum de temps le mécanisme de ce comportement, Kevin Finel lui explique le principe et les différentes raisons qui peuvent créer ce genre “d’anomalie” dans une fonction pourtant aussi primaire et vitale que l’alimentation.

Combler un vide, se faire plaisir, avoir associé un état de mieux-être à travers la nourriture, tout comme les likes sur les réseaux sociaux et l’évocation des circuits de la récompense, nombreuses sont les raisons potentielles des comportements dit « addictifs ». Tout cela rejoint ce que l’on appelle communément “conditionnement opérant”, appellation plus scientifique de l’apprentissage basé sur la récompense.

Heureusement avec l’hypnose, grâce aux états modifiés de consciences, comme évoqué précédemment, nous pouvons ouvrir une porte d’accès vers l’imagination et les mécanismes internes. 

En s’adressant à son sujet, Kevin Finel demande si elle a ressenti certaines sensations particulières durant l’expérience de groupe et se sert par la suite de ces précieuses informations pour commencer une induction plus formelle. Afin d’approfondir l’état d’hypnose, il pose simplement la question à son sujet sur ce qu’il se passe par la suite quand l’état s’intensifie.  Cela passe par une vision plus focalisée, canalisée. Demandant ensuite la main qui précédemment s’était mise à léviter, Kevin Finel la saisit et demande à son sujet de se focaliser sur elle. Après quelques suggestions, il lâche cette main qui se trouve en état de catalepsie, qui semble flotter dans les airs. Il ne lui reste plus qu’à ratifier les phénomènes et les approfondir. 

Il finit par saisir cette main, symbole d’un état d’hypnose plus profond et la diriger lentement vers le visage du sujet maintenant complètement absorbé dans l’expérience. Une fois la main en contact avec le visage, la personne ferme les yeux et plonge littéralement dans un état propice à modifier ses comportements alimentaires.

Après une phase de travail qui serait bien trop longue à exposer ici, Kevin Finel joueur, décide d’associer le chocolat à quelque chose de drôle, un fou rire et des gestes loufoques du doigt qui amplifient le côté comique (tout en restant respectueux) de la situation.

Après quelques suggestions post-hypnotiques en rapport avec ses comportements alimentaires, ses croyances et ses capacités, la personne se redresse avec de nouvelles ressources et un sourire communicatif sur les lèvres. Elle a compris que le chocolat n’était pas le réel problème, que l’origine et le mécanisme étaient liés à tout autre chose, mais cela reste de l’ordre du personnel et nous allons pour aujourd’hui en rester là.

2/ Hypnose et douleurs

Pour la seconde démonstration, un deuxième volontaire évoque une problématique liée à des douleurs handicapantes au quotidien. Au travers de quelques questions afin d’éviter un exercice illégale de la médecine et pour bien comprendre le type de pathologie lié à ces douleurs, Kevin Finel invite le sujet à le rejoindre tout en expliquant simplement les mécanismes de la douleur ainsi qu’une notion importante : la différence entre le corps physique (matériel) et le corps imaginaire (représentation mentale).

En effet, la douleur est une expérience à la fois sensorielle mais aussi émotionnelle ayant un impact important sur la vie sociale. Il est bon alors de savoir qu’avant l’apparition des produits anesthésiants et des opiacés, l’hypnose était énormément utilisée afin de diminuer, voire de supprimer la sensation douloureuse. 

James Braid, James Esdaille, Jules Cloquet ou plus récemment Dr Rainville, nombreuses sont les publications et les professionnels ayant travaillé avec l’hypnose sur la modulation du signal douloureux.

==> Pour aller plus loin sur le sujet : https://gammacoachinghypnose.com/sommes-nous-tous-hypnotisables

Il est vrai que physiologiquement la douleur n’existe pas jusqu’à ce qu’elle n’atteigne le cerveau. Les traumatismes ou simplement de nombreux syndromes douloureux primaires peuvent à la longue induire une hausse de la sensibilisation du système nerveux. A cause de cette sensibilisation, une gène due à un trouble pourtant guéri peut être perçue comme une douleur majeure.

A contrario, il existe des neurones capables d’inhiber le message douloureux venant des nerfs périphériques…En bref, la science aujourd’hui a à de multiples reprises montré les bénéfices de l’hypnose sur la douleur.

La douleur étant subjective, Kevin Finel demande à la volontaire assise à ses côtés de situer la douleur dans son corps et de l’évaluer sur une échelle de 0 à 10 (0 étant une absence totale de sensation et 10 un signal insupportable). 

A noter ici que la proposition d’une échelle où la douleur est capable de se moduler est une excellente entrée en matière. Cela entraîne l’amorce de l’idée qu’une douleur peut bouger, évoluer et n’est plus quelque chose de fixe et permanent

Pour preuve, Kevin Finel utilise l’image d’une personne atteinte du syndrome du membre fantôme, qui continue de fabriquer mentalement un signal douloureux (corps imaginaire) alors que matériellement ce membre n’existe plus (corps physique).

La personne situe la douleur (au genou) à 4 à l’instant et cela peut monter à 6 lors de la marche.

Après un peu d’hypnose conversationnelle et quelques suggestions glissées sous forme d’explications à l’auditoire, Kevin Finel demande au sujet d’attribuer une couleur puis un mouvement à cette douleur. 

La teinte est chaude, plutôt rouge et a tendance à tourner rapidement dans le sens des aiguilles d’une montre.

Ce sont là des représentations métaphoriques communes dans l’inconscient collectif, un signal douloureux étant rarement de couleur verte ou symbolisant la douceur.

Kevin Finel dirige ensuite l’attention de la volontaire sur sa main droite, une “zone neutre”, sans aucune douleur. 

Et avec quelques jeux de mots, confusions et suggestions corporelles, indique que toute personne, se concentrant sur un endroit précis de son corps,va instinctivement s’associer à cette partie, qui va pouvoir davantage occuper ses pensées (attention focalisé). 

Il propose à la volontaire de jouer avec ses sens, auditifs, visuels, kinesthésiques et même olfactifs et gustatifs… Puis dans cet état décalé de conscience, invite à réifier la sensation de cette main, cette partie neutre, muette, peut-être avec une couleur, une forme et une sensation proche de l’analgésie.

Ensuite, il conduit en douceur son sujet à transférer les compétences acquises dans cette main au niveau de son genou, de sa zone douloureuse, et par ce transfert, cette nouvelle réalisation diminue le signal. Celui-ci qui était à 4 peut diminuer à 3, 2, 1… La couleur se modifie, le rythme du mouvement ralentit à chaque seconde un peu plus… Peut-être même proche de 0.

Une fois fait, il interroge une nouvelle fois la volontaire sur la nouvelle échelle. Stupéfaite, elle bouge un peu son membre et constate avec sérénité que la douleur est passée de 4 à une sensation proche de 0.

L’hypnotiseur félicite son sujet et lui précise que ce bénéfice vient d’elle de et sa capacité à interpréter et moduler sa sensation et qu’elle pourra réutiliser cet apprentissage quand cela s’avère intéressant pour elle et si la douleur ne représente aucun danger pour elle.

Cela dit, Kevin Finel ne s’arrête pas là et pour insister sur le côté outil reproductible de la chose, il propose à la volontaire une expérience désagréable : celle faire regrimper le signal douloureux sur cette échelle, l’idée d’une hyperesthésie. Il évoque donc une accentuation de la sensibilité qui transforme certaines sensations, notamment tactiles, thermiques en sensations de douleur.

En se focalisant sur le souvenir douloureux, sur la zone sensible, en repensant à la couleur rouge, à cette chose qui tourne de plus en plus vite, la sensation douloureuse du genou remonte à 2, bientôt 3… Le sujet grimace, signe qu’elle éprouve véritablement cette sensation. L’hypnotiseur a alors souligné cette chose et la félicite car maintenant elle sait complètement utiliser cet outil, elle sait moduler le signal douloureux selon ce dont elle a besoin. Bien évidemment, il l’accompagne afin de faire rechuter la douleur qui revient très vite à un chiffre proche de 0.

Bien-sûr, en tant que professionnel, conscient que le mécanisme de la douleur peut s’avérer parfois utile pour ne pas oblitérer une réel atteinte du corps physique, l’opérateur lui précise qu’en cas de danger elle pourra ressentir de nouveau son membre de manière habituel.

Conclusion et questions/réponses

Après un résumé des séances venant d’ếtre réalisées, en évoquant le fait qu’une réelle séance prend beaucoup plus de temps et est souvent associée à plus d’émotion et de profondeur, Kévin Finel propose un temps de questions/réponses afin d’assouvir notre soif de curiosité. 

Parmi les questions, on retrouve l’intemporelle question sur la réceptivité à l’hypnose, ceux à quoi nous pouvons répondre que, comme toute pratique et toutes activités cognitives, la sensibilité, l’attention et la persévérance restent des facteurs clés de la réussite

Il y a autant de façons d’entrer en hypnose que d’individus, chacun son rythme, sa subjectivité, chacun ses peurs et ses freins à la transe et il est important de repérer ce qui fonctionne (en terme de rythme, de contexte, de suggestion, d’interaction), ne serait-ce qu’un peu afin de prendre le temps de l’amplifier.

Par la suite sont évoqués des questions sur la plateforme psychonaute proposant des expériences d’auto-hypnose où vous pourrez trouver tous les renseignements ici :

https://psychonaute.org/

Pour finir, une des participantes s’interroge sur un mystérieux appareil intitulé “Dream Machine”. 

Bien que n’étant pas le sujet majeur du cabinet public, Kevin Finel explique que cette innovation technologique est issue des travaux de Brion Gysin, un artiste et poète, créateur autrefois de la « machine à rêves ».

“Ma Dream Machine est le point final dans l’histoire de l’art cinétique. La machine qu’on a inventée est le premier objet d’art dans l’histoire du monde devant lequel on ferme les yeux plutôt que de les ouvrir. […] Cette machine aurait dû être la coqueluche des années 60. On avait tous les effets hallucinogènes des drogues mais sans prendre de drogues, cela aurait dû être une grande aventure pour toute une génération, mais rien de tout cela ne s’est passé…” Brion Gysin.

Certains connaissent peut-être la première Dream Machine, celle que l’écrivain Aldous Huxley voyait déjà comme une « aide aux expériences visionnaires ».

L’idée c’est que de la lumière pulsée a un effet stroboscopique basé sur certaines fréquences, rythmes, stimule le cerveau de façon à provoquer des états de conscience modifiés.

Le scintillement lumineux émis par la Dream Machine agit alors comme un miroir reflétant les pensées inconscientes du voyageur intérieur. Cela ressemble à une lampe, qu’on regarde les yeux fermés, et qui en quelques instants nous fait vivre, selon le programme, des états méditatifs profonds, d’hyper créativité, de concentration intense ou même de profond repos. 

Effectivement, associée via Bluetooth à une application à installer sur votre smartphone, la lampe émet des séquences lumineuses selon le type de « besoin » que vous souhaitez.

Je peux dire pour ma part, que participer à ces événements est toujours un réel plaisir. Peut-être qu’il en serait de même pour vous aussi, si vous avez apprécié lire ces quelques lignes.Prochaines dates et billets disponibles ici : https://www.arche-hypnose.com/cabinet-public/

Sylvain Gammacurta hypnose

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