Sylvain Gammacurta Hypnose
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Hypnotherapeute specialisé en psycho nutrition

Maigrir n’est pas seulement qu’une affaire de diététique et de sport.

Même si mincir passe forcement par l’assiette, c’est tout d’abord une confrontation intime avec soi-même.

Il est interessant de savoir déjà pourquoi nous voulons maigrir, qu’esper t’on vraiment en perdant du poids ?

En general, on maigrit pour se plaire, on maigrit pour aimer et être aimée.

C’est aussi identitaire… beaucoup de personnes que je suis m’exprime que ce corps n’est pas eux…

De fait de se debarasser des kilos rebelles, représente une métamorphose psycho-émotionnelle complexe, une plongée dans la psyché.

Au yeux de beaucoup, devenir mince est synonyme d’etre enfin heureux, que la vie serai simple et belle.

Est ce vrai ? Je vous laisse le soin de repondre sincèrement à la question.

 

Neanmoins quelque chose m’a interpellé, je retrouve cela régulièrement en therapie : la peur inconsciente d’être désirable.

 

Cela peut sembler contradictoire, mais parfois , les personnes en surpoids ont une forte blessure d’humiliation et ont donc cette tendance à adopter un comportement masochiste ( se referer à mon article sur les blessures de l’âme.)

Les kilos forment alors une carapace qui protège du regard d’autrui, des agressions du monde extérieur et du désir du sexe opposé, mais aussi de son propre désir pour l’autre.

Ils permettent d’instaurer une distance entre l’autre et soi, et, croit-on, de faire obstacle au désir et aux plaisirs.

PLaire, être désirable, éprouver du désir, s’abandonner aux corps à corps de la sexualité, comme toute relation à l’autre, peuvent aussi être vécus comme une mise en danger, parce que cela induit une perte de contrôle.

Maigrir, c’est alors devenir vulnérable jusqu’à l’angoisse. « Coincées entre la difficulté à se confronter à leurs peurs et maigrir, certaines choisissent inconsciemment de se protéger en gardant leurs kilos », traduit le docteur Bernard Waysfeld, psychiatre et nutritionniste, auteur de « Le poids et le moi » un livre super interessant sur le sujet.

 

Quelque chose qu’on connaît tous plus ou moins: Manger pour se consoler.

 

Coup de blues, stress, solitude, ennuis, rupture amoureuse ou contrariété…

On se goinfre pour anesthésier les émotions qui font mal. Le souci ? Ç’est que ca marche ! Manger, en libérant dans le sang des endorphines apaisantes, est le plus naturel des antidépresseurs. Un phénomène renforcé avec le sucré, qui dope le taux de sérotonine, la molécule de la sérénité.

 

Résultat, sans mauvais jeux de mots, on remet le couvert chaque fois que la vie nous met à l’épreuve  et comme on avale sans faim plus de calories qu’on en dépense, on stocke…

Tandis qu’on se lamente sur son poids, on évite de se confronter à ses problèmes moins bien connus ou plus douloureux. Or, à long terme, plus nous évitons nos émotions, moins nous les supportons.

Ainsi, au début, on mange pour se consoler de grandes douleurs, puis pour un oui ou pour un non, avant même que les émotions surviennent.

 

Dernier point : les états anxieux et le stress.

Vivre stressée, c’est comme avaler des comprimés de cortisone », indique la docteure Paule Nathan, nutritionniste et endocrinologue.

Quand on stresse, on gonfle, on.stock, on se barde de graisse, et toute perte de poids est gelée. La faute à l’hormone cortisol, car elle stimule la faim et freine de 25 % la combustion des calories….

 

Pratiquer le yoga, la meditation ou tout autre forme de detente est donc conseillé pour garder calme et serenité 🙏🏼

 

Sylvain Gammacurta

Hypnotherapeute.

 

 

 

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